Charles Christofle (1805-1863)

Le mot d’ordre était «À table !» et, pour l’illustrer, les petits plats se mettaient dans les grands avec cette presse à canard de la maison Christofle.

En argent et en céramique, des pièces de forme rappelaient les recherches formelles des XIXe et XXe siècles, signées par Christofle et Picasso.

Un service en porcelaine de Sèvres offert par Charles X à son ministre de France en Saxe exprime un geste très diplomatique. À ses côtés, une paire de saintes Catherine revenait à Simon Vouet.

Le trompe-l’œil de cette pièce est troublant. Son créateur n’est autre que la maison Christofle, fondée à Paris en 1830 par Charles Christofle (1805-1863). Elle demeure une référence tout au long du XIXe siècle pour son traitement de l’argenture et de...

Comme un instantané photographique, ce tableau nous montre l'une des cérémonies officielles du couronnement du dernier des rois Bourbon. Une œuvre au pedigree rivalisant de prestige avec son sujet.

Dans le collection de M. D., tout juste dispersée à Laval, on trouvait beaucoup d’élégantes productions du temps de Charles X, mais aussi, et surtout, une toile remarquable d’un maître hollandais.

L’argenture est la première spécialité de la maison Christofle ; sa technique permet de produire à moindre coût des pièces de forme de grandes dimensions. Cette paire de grands candélabres à sept bras de lumière en bronze argenté en est un parfait exemple....

Très logiquement, cette assiette dite «à marrons chauds»  mise en avant par la Gazette n° 9 (page 58) pour annoncer la vente d’argenterie de la maison Ader (Mme Badillet)  a su attiser les enchères jusqu’à 10 496 €. L’objet, daté 1876 d’après un modèle...

Un dessin sortait ses serres et s’envolait devant l’ensemble de mobilier Charles X.

Sa collection d’objets de tabletterie va connaître le jeu des enchères, dévoilant aussi son ancrage scandinave. Pureté des lignes, préciosité des matériaux, esprit unique… À la recherche du grand art en minuscule.